Infos/Stats ligue 1

Ici sera marqué les stats et les infos de l1 !

L'EQUIPE EN HAUSSE : MARSEILLE

Après un nul (face à Lens, 1-1) et une défaite (à Lyon, 2-1), l'OM a renoué avec la victoire face à Rennes (1-0). Une victoire sur la plus faible des marges mais méritée qui permet surtout au club phocéen d'afficher son meilleur classement de la saison (6e). "Il nous fallait la victoire surtout quand on voit les résultats des équipes de tête. On sortait de deux matchs on l'on était frustré après Lens et Lyon", peut se réjouir Jean Fernandez. L'entraîneur voit d'ailleurs dans ce succès les fruits du recrutement du mercato. "On est satisfait de nos recrues hivernales d'ailleurs Jérôme Bonnissel a fait une très bonne deuxième mi-temps. Il avait plus de jus que contre Lyon. On a vu un bon Bonnissel, c'est de bon augure pour la suite du championnat", explique-t-il. Quant à Mickaël Pagis, auteur du but de la victoire, "on sent qu'il n'est pas encore prêt physiquement, il a besoin de travailler à l'entraînement pour être mieux sur le plan physique. Mais, dans le jeu, il va beaucoup nous apporter sur le plan offensif".

L'EQUIPE EN BAISSE : MONACO


L'année 2006 commence bien mal pour l'ASM. Après les affres du mercato (départs mouvementés d'Adebayor et Evra et arrivées de Vieri et Di Vaio), le club de la Principauté va devoir régler sa situation sportive. Car, face à Bordeaux (0-1), les Monégasques ont signé un troisième match sans victoire après Strasbourg (1-1) et Auxerre (2-1). "En ce début d'année, il y a pas mal de bouleversements. L'équipe est toujours fragile, quels que soient les joueurs. Nous ne faisons pas les gestes justes à des moments précis. Il faut corriger cela", explique Guillaume Warmuz. D'ailleurs, certains n'hésitent pas à mettre en berne leur ambitions. "La Ligue des Champions devient très difficile vu les équipes prétendantes et notre défaite face à un adversaire direct. Nous devons essayer de remporter une Coupe Nationale", semble ainsi résigné François Modesto.

LE CHOC : M. KALT - NADE

"M. Kalt a insulté Christian Nadé en le traitant avec des insultes. Ses termes ont été : "Fils de pute, dégage !" à l'attention de Christian Nadé. Un arbitre qui parle comme ça à un joueur... Si c'est le contraire et qu'un joueur parle comme ça, il prend cinq ou six mois de suspension. Je trouve ça inadmissible qu'un arbitre se comporte comme ça".

LE CHIFFRE : 273

Le gardien de but d'Auxerre, Fabien Cool, a disputé son 273e match d'affilée en championnat depuis 1998 face à Lens, égalant le record détenu par le gardien Dominique Baratelli. Ce dernier a réalisé ce record sous les couleurs d'Ajaccio, puis de Nice, entre 1970 et 1977 avant d'effectuer une autre série de 236 rencontres consécutives entre 1978 et 1984 avec Nice puis le PSG. Mais ce chiffre n'impression pas l'Auxerrois. "Ce record ne me fait pas grand chose. Personnellement, je n'étais pas du tout au courant, c'est un journaliste qui m'en a informé car je ne fais pas le décompte de mes matches, je me contente de jouer", confie-t-il. Pourtant, il est seulement le 4e gardien titulaire depuis l'accession de l'AJA en L1 en 1980 après Joël Bats, Bruno Martini et Lionel Charbonnier.

Buts : 15
Cartons : 34 jaunes et 1 rouge
Meilleure attaque : Lyon (38 buts marqués)
Meilleure défense : Bordeaux (11 buts encaissés)
Meilleur buteur : Pauleta (PSG) avec 14 buts
Meilleur passeur : Kahlenberg (Auxerre) avec 7 passes décisives

LES RECORDS A BATTRE EN LIGUE 1 :

. Le plus grand nombre de titres

Saint-Etienne : 10 (1957, 1964, 1967, 1968, 1969, 1970, 1974, 1975, 1976, 1981)


. Le plus grand nombre de titres d'affilée

Saint-Etienne : 4 (1967, 1968, 1969, 1970)

Marseille : 4 (1989, 1990, 1991, 1992)

Olympique lyonnais : 4 (2002, 2003, 2004, 2005)


. Les joueurs les plus titrés

Jean-Michel Larqué et Hervé Revelli (Saint-Etienne) : 7 (1967, 1968, 1969, 1970, 1974, 1975, 1976)


. Record d'invincibilité

Nantes, 32 matches sans défaite (de la 1re à la 32e journée) lors de la saison 1994-1995


. Record d'invincibilité à domicile

Nantes, 92 matches sans défaite, du 15 mai 1976 au 7 avril 1981


. Record d'invincibilité pour un gardien

Gaëtan Huard (Bordeaux), 1176 minutes lors de la saison 1992-1993


. Le plus grand nombre de victoires sur une saison

26 pour Reims (1959-60), Monaco (1960-61), Nantes (1965-66, 1979-80) pour un championnat à 20 clubs; 25 pour Saint-Etienne (1969-70) pour un championnat à 18 clubs


. Le plus grand nombre de victoires à domicile

19 pour Saint-Etienne (1974-75)


. Le plus grand nombre de victoires à l'extérieur

12 pour Saint-Etienne (1969-70) et Marseille (1971-72)


. Le plus petit nombre de défaites sur une saison

1 pour Nantes (1994-95)


. Le plus grand nombre de matches

Jean-Luc Ettori (Monaco): 602 matches pour un gardien

Alain Giresse (Bordeaux, Marseille): 586 matches pour un joueur de champ


. Le plus grand nombre de matches pour un entraîneur

Guy Roux (Auxerre): 890 matches


. Le plus grand nombre de saisons disputées en L1 (ex-D1)

Sochaux: 57 saisons


. Le plus grand nombre de saisons d'affilée en L1 (ex-D1)

Nantes: 42 saisons (1560 matches)


. Le meilleur buteur

Delio Onnis (1972-1986): 299 buts


. Le meilleur buteur français

Bernard Lacombe (1970-1987): 255 buts


. Le meilleur buteur sur une saison

Josip Skoblar, 44 buts lors de la saison 1970-1971


. Le meilleur buteur sur un match

Jean Nicolas (Rouen), 7 buts le 1er mai 1938 contre Valenciennes et Trello Abbeglen (Sochaux) le 25 août 1935 contre Valenciennes


. Meilleure attaque sur une saison

118 buts: RC Paris lors de la saison 1959-1960 pour un championnat à 20 clubs; 102 buts: Lille lors de la saison 1948-1949 pour un championnat à 18 clubs


. Le plus petit nombre de buts encaissés sur une saison

Marseille, 21 buts encaissés lors de la saison 1991-1992


. Meilleure différence de buts sur une saison

+ 63 pour Reims (1959-1960) pour un championnat à 20 clubs; + 62 pour Lille (1948-1949) pour un championnat à 18 clubs


. La victoire la plus large

12-1, Sochaux-Valenciennes lors de la saison 1935-1936

La rencontre Strasbourg-Paris SG comptant pour la 24e journée de Ligue 1 et prévue samedi a été reportée en raison de l'état de la pelouse du stade de la Meinau, gelée malgré la pose d'une bâche depuis mardi. La nouvelle date du match sera fixée mercredi prochain par la LFP.

Le match Nantes-Troyes, comptant pour la 24e journée de L1, prévu samedi au stade de la Beaujoire, a été reporté à une date ultérieure qui reste à déterminer, en raison des chutes de neige, a-t-on appris auprès de la délégation régionale de la Ligue nationale.

L'EQUIPE EN HAUSSE : MARSEILLE


Après avoir connu un mois de janvier assez décevant, l'Olympique de Marseille a repris sa marche en avant dimanche à Troyes (0-1). Les Phocéens se sont imposés sans trembler du côté du stade de l'Aube grâce à un petit mais précieux but de Sabri Lamouchi. Le cinquième de la saison. Compte tenu de la défaite de Lille et du nul concédé par le Paris Saint-Germain, l'OM en profite pour monter à la cinquième place. Son meilleur classement de la saison.

Et le moins que l'on puisse dire est que cela fait plaisir au staff olympien. "On aime tous cet OM là, s'est réjoui José Anigo sur le site de l'OM. Après Ajaccio, si on écoute tout le monde, il fallait virer chaque joueur. Ce soir, si on regarde bien c'est la même équipe que contre Ajaccio sauf que les joueurs ont abordé ce match avec un autre état d'esprit. La victoire au-delà de la manière, nous permet d'être cinquième de Ligue 1, nous nous sommes relancés dans ce championnat. Pour le prochain match contre Toulouse, on récupérera les joueurs africains, ce qui va encore apporter un plus à l'équipe." Et permettre à l'OM de définitivement s'affirmer ?

L'EQUIPE EN BAISSE : RENNES

Longtemps à la croisée des chemins, le Stade Rennais semble être retombé du côté obscur de la force. Les Bretons ont subi la loi d'une équipe de Monaco revancharde, samedi au stade de la Route de Lorient (1-3). Résultat : une quatrième défaite de rang en Championnat de France et un adieu quasiment définitif aux places d'honneur. Avec 32 points et une dynamique négative, les joueurs de Laszlo Bölöni devront sûrement se contenter de peu en 2005/2006.

Un brin aigri par cette situation défavorable, le coach roumain déplore le manque de réussite de ses attaquants : " C'est lourd et difficile de constater, que, encore une fois, Rennes joue bien et perd à la fin. Le championnat demande d'avantage au niveau du réalisme. Je pense au secteur offensif, où nos prestations sont faibles. Mais je pense aussi qu'on offre trop de buts faciles à l'adversaire. Vieri ? Je m'en fous de qui est en face ! Même moi, si on me laisse tout seul à dix mètres du but, je peux le mettre ! " Et si Bölöni s'alignait en attaque...

LE CHIFFRE : 3

Comme le nombre de portiers qui se sont blessés lors de la 25e journée. Christophe Revault (Toulouse) a quitté ses partenaires suite à un long dégagement. L'ancien Havrais semble bien être victime d'une entorse du genou. L'expérimenté gardien du Téfécé devra ronger son frein durant quelques temps. Même chose pour Stéphane Cassard. Le portier de Strasbourg a été opéré au niveau d'une paupière et souffre en outre d'une fracture à un plateau orbital. Enfin, Stéphane Porato a moins de soucis à se faire. Le portier corse d'une béquille à la jambe gauche.

26° Journée !



L'EQUIPE EN HAUSSE : LE MANS

Mais où s'arrêteront les Manceaux ? Eliminé mercredi en demi-finale de la Coupe de la Ligue, le MUC s'est refait une santé samedi en Ligue 1. Vainqueurs de Nice (2-0) grâce à deux réalisations signées Fanchone et Bangoura, les promus se hissent à la septième place du Championnat de France et sont à trois points d'un maintien théorique qu'ils n'imaginaient - et n'espéraient - sans doute pas atteindre aussi tôt dans la saison.

Et pourtant, Le Mans est bel et bien ancré aux portes d'une qualification européenne. Frédéric Hantz est vraiment fier de ses joueurs : "Ce match était un tournant après notre élimination à Nancy en demi-finale de la Coupe de la Ligue. Une contre-performance ou une grosse déception face à Nice aurait pu semer le doute dans nos esprits. A partir de maintenant, et seulement maintenant, on est remis de notre élimination. Car je peux vous dire que ça a tourné dans nos têtes. On est dans les dix premiers et on souhaite y rester. On ne parle pas d'Europe, on en parlera peut-être le 13 mai, le soir du match à Lyon."

L'EQUIPE EN BAISSE : MONACO

A Rennes, Monaco semblait avoir fait un grand pas en avant. Au niveau du jeu, de la confiance et dans le réalisme made in Vieri. Une semaine plus tard, force est de constater que, de ces trois ingrédients du renouveau monégasque, un seul subsiste : le retour de Christian Vieri. Auteur de son troisième but de la semaine, l'attaquant transalpin n'a pu empêcher son équipe de concéder le nul face à Troyes (1-1). Après l'élimination en demi-finale de la Coupe de la Ligue concédée mardi face à Nice (0-1), ça fait deux contre-performances de suite à Louis II.

Petit à petit, mais sûrement, la qualification pour la Ligue des Champions 2006/2007 s'envole. Francesco Guidolin en est conscient et son discours prend une couleur fataliste. "Il ne manque que le résultat car on a fait un bon match et on avait la possibilité de gagner facilement. On a raté notre troisième penalty de la saison. Après c'est difficile, surtout à dix. Tu donnes du courage à l'équipe adverse quand tu manques un penalty. Avec plus d'attention et de cynisme, on aurait pu gagner facilement. Il faut essayer de changer les choses. C'est l'unique chose que l'on peut faire."

LE CHIFFRE : 6

Comme le nombre de buts inscrits par Mamadou Diallo depuis le début du mois de janvier en Championnat de France. Le Malien ne cesse de marquer et Sochaux (3-1) en a fait les frais, samedi. L'ancien joueur de l'USM Alger a réussi son premier triplé face aux Franc-Comtois. Un but du droit, un autre du gauche et le dernier de la tête : la fête a été complète pour l'attaquant nantais. "Il y a des soirs comme ça où tout vous sourit et où tout passe... Ça n'arrive pas tous les jours. Je fais mon bonhomme de chemin et on verra la suite. Je continue à travailler. Si j'ai la chance de marquer d'autres buts, je le ferai évidemment !"

L'EQUIPE EN HAUSSE : Lille (3e)

Les semaines passent et rien ne semble pouvoir stopper la formidable machine lilloise. Malgré un calendrier très chargé, les troupes du LOSC font la preuve depuis la reprise que leur deuxième place arrachée la saison dernière n'était en aucun cas usurpée. Grâce à un turnover judicieux mené de main de maître par Claude Puel, la formation nordique traverse les semaines sans encombre et se place de plus en plus comme un candidat sérieux à la prochaine Ligue des Champions.

Trois succès consécutifs, une seule défaite lors des huit dernières journées, les hommes de Puel imposent un rythme d'enfer, à l'image de leur large succès décroché face au Mans (4-0). Confrontés aux surprenants promus manceaux, les Lillois ont rendu une copie quasi-sans-faute : 2 buts par période, une défense solide, un banc une nouvelle fois efficace à l'image de Mirallas. "Nous avons bien maîtrisé la rencontre. C'est bien de ne pas avoir été poussé dans nos derniers retranchements avant notre match de jeudi en Coupe de l'UEFA". Une répétition idéale pour Puel et se troupes avant d'aller défier le FC Séville.

L'EQUIPE EN BAISSE : Ajaccio (20e)

Alors que Metz, invaincu depuis quatre journées, et Strasbourg, vainqueur de deux de ses trois derniers matches, se sont parfaitement relancés dans la course au maintien, Ajaccio plonge dans les profondeurs du classement au fil des semaines. Après un léger sursaut d'orgueil à la suite de l'éviction de Rolland Courbis au profit de José Pasqualetti, les Corses sont retombés dans leurs travers : perméabilité défensive, inefficacité offensive chronique, des carences bien trop flagrantes pour espérer résister à de revanchards Lyonnais. Une défaite, 3-1, à l'image de l'écart qui sépare les deux formations. Un troisième revers consécutif synonyme de place de lanterne rouge. Le temps presse pour la formation de l'Ile de Beauté repoussé à six longueurs de Troyes, premier non-relégable. L'espoir s'amenuise. "Ce ne sera pas facile, j'en suis conscient", admet Pasqualetti

LE BUT : Juninho (Lyon)

En baisse de régime pendant plusieurs semaines, le Brésilien a retrouvé le feu des projecteurs. Buteur lors de ses trois derniers matches en championnat et en Ligue des Champions, le milieu de terrain a rajouté une ligne de plus à son formidable tableau de chasse en distillant un énième coup franc dont il a le secret. De plus de 40 mètres, le milieu de terrain de l'OL a propulsé un missile dans la lucarne du portier ajaccien, Stéphane Porato, il est vrai, pas exempt de tout reproche. Une merveille qui lançait Lyon sur le chemin du succès.

LE CHIFFRE : 8

Comme le nombre de joueurs au sein de l'effectif de l'OM qui n'avait jamais pris part à un match de Ligue 1. Alignés aux côtés de cinq professionnels peu aguerris également sur la scène nationale (Delfim, Gimenez, Civelli, Cantareil, Carasso et Anddre Luis), les membres de l'équipe réserve de l'Olympique Marseille ont misé sur leur solidarité et leur rage de vaincre pour arracher un point inespéré au Parc des Princes. Un résultat nul aux allures d'humiliation pour le PSG.

LA DECLA : Joel Muller (FC Metz)

C'est une belle victoire. Nous avons bien changé car il ya quelques mois, nous aurions perdu ce match. L'équipe s'est transformée à la pause, est allée de l'avant et a su écoeurer Monaco. Cette capacité à revenir au score nous permet d'espérer pour la suite de la saison. Pour l'instant, je ne parle pas de maintien mais je note que l'équipe qui était médiocre il ya peu s'est métamorphosée.

L'EQUIPE EN HAUSSE : Rennes (7e)

15e à l'issue de la 26e journée, au bord de la crise à la suite de 5 revers consécutifs, Rennes a depuis largement redressé la barre pour rendre une copie quasi-sans-faute et imprimer un rythme d'enfer. Vainqueur lors des quatre dernières journées de Ligue 1, les jeunes pousses bretonnes menées par Laszlo Bölöni ont su ajouter la manière aux résultats en signant quatre succès éclatants, dont un triomphe sur la pelouse des indétrônables Lyonnais (1-4) et une correction infligée à Lens (4-1).

L'EQUIPE EN BAISSE : Toulouse (15e)

Toulouse, un énorme gâchis ! Après une très belle campagne de recrutement à l'intersaison marquée par les arrivées successives de Santos, Mathieu et Bergougnoux, le TFC pouvait afficher de belles ambitions mais les hommes de Mombaerts n'ont jamais su trouver le bon rythme. Après une belle série de 7 matches sans défaite, la formation toulousaine est retombée en pleine vol, enchaînant cinq journées sans le moindre succès et avec seulement deux buts au compteur.

Un revers à Bordeaux n'a rien d'infamant mais le manque d'efficacité, malgré une ligne offensive impressionnante avec Moreira, Santos ou Bergougnoux, est nettement plus inquiétant. "Je pense que là, le réalisme fait la différence. Je tiens à féliciter vraiment notre équipe, tous nos joueurs, qui ont mis beaucoup d'engagement, beaucoup de coeur, qui n'ont rien lâché, et qui, par moment, ont fait aussi de bonnes choses, ont eu des occasions à Bordeaux, face à cette équipe qui défend très bien. Je ne peux être que satisfait et déplorer, malheureusement, un manque de réalisme". Erick Mombaerts devront trouver la bonne formule la saison prochaine afin de répondre enfin aux attentes placées en eux.[/img]

LE BUT : Patrick Müller (Lyon)

Après avoir corrigé le PSV Eindhoven, l'Olympique lyonnais a surclassé Metz sur le même score (4-0). Et Patrick Müller a clôturé le show lyonnais contre le club lorrain d'un geste spectaculaire. Après un dégagement du poing de Wimbée, le défenseur suisse a placé une superbe reprise de volée qui a trouvé la lucarne messine. Une belle manière de fêter la naissance de son fils.

LA DECLA : José Pasqualetti (entraîneur de l'AC Ajaccio)

"Il faut arrêter de se cacher. La défaite est lourde et logique. On a fait une première mi-temps catastrophique, sans être capable d'enchaîner trois passes d'affilée. Il y a de la résignation chez certains, pas chez moi. C'est un coup dur dans la course au maintien, car on a maintenant deux matches à domicile et ça aurait été bien de prendre des points ce soir. Le contenu de notre match est très inquiétant. Tout le monde ne se bat pas de la même façon. Qu'est-ce qu'il faudrait faire pour remédier à ça ? Il faudrait poser la question aux joueurs. Il y a quand même un gagne-pain à sauver. Moi je fais mon boulot. Je n'ai pas de sentiment de trahison mais de frustration. Et beaucoup de déception"

LE CHIFFRE : 6

Comme le nombre de journées consécutives sans que Pauleta ne trouve le chemin des filets. Large leader du classement des buteurs, le Portugais est à l'image de sa formation depuis quelques semaines, inefficace et stérile sur le front de l'attaque. Avec seulement quatre bus inscrits et aucune victoire lors des neuf dernières journées de championnat, le PSG fait du surplace et son maitre artificier semble en plein doute. Seule bonne nouvelle pour le Cyclone des Açores, il profite du manque d'efficacité général des buteurs de Ligue 1 pour garder une large avance sur son dauphin au classement des buteurs, +4 sur le Lensois Daniel Cousin.